Sergent Martin Désiré 328e RI - Voix du Nord
Voici l'article du 11 novembre de la Voix du Nord, consacré au sergent Désiré Martin.
Voici l'article du 11 novembre de la Voix du Nord, consacré au sergent Désiré Martin.
En ces jours de commémoration, je vous présente le soldat Georges Gamblin, article de la Voix Du Nord de ce jour.
De la classe 1918 et originaire de la Creuse, Maximilien est appelé au 138e RI le 18/4/1917 ; il passe au 63e RI au front le 12/2/1918 puis au 273e RI le 14/6/1918.
Il ne prend part qu'aux combats de Dormans près de la ferme de la Bourdonnerie le 15 juillet 1918 où il est porté disparu.
Il n'apparaît pas dans la liste des tués de l'historique du régiment.
Le 15 septembre 1919, il est signalé inhumé dans le cimetière militaire de Dormans.
Il repose aujourd'hui dans son village de Champsanglard.
Mémorial de Dormans.
Natif de St-Jans Cappel, Eugène Papegay, a vécu à Météren.
Durant la Grande Guerre, il était affecté au 273e RI et n'a jamais été blessé.
Je recherche un portrait de ce Poilu ; si vous êtes de ses descendants, n'hésitez pas à m'écrire, merci.
De la classe 1909 et natif de Tourcoing, le sergent Eugène Hazebrouck est muté au 73e RI le 9/7/1917.
Il prend part à tous les combats dont celui de Dommiers dès le 1er juin 1918.
C'est à Dommiers qu'il obtient une citation à l'ordre du corps d'armée pour un acte héroïque :
"Sous-officier d'une bravoure exceptionnelle ; après avoir entraîné ses hommes à la conquête des trois lignes de tranchée, a réussi par surprise à encercler de nombreux ennemis dans un blockhauss armé de deux mitrailleuses.
Pendant 8 heures durant, a résisté à toutes les tentatives de sortie de la garnison, repoussant plusieurs attaques à la grenade.
A participé à l'attaque du blochauss et à la capture des ennemis qu'il contenait, blessé au cours de l'opération".
Eugène est blessé sérieusement à l'abdomen en ce 4 juin et évacué vers l'ambulance 5/59 où il décède 3 jours plus tard.
Eugène repose dans la nécropole nationale de Royallieu, sur la plaque il est noté Gaston mais il s'agit bien d'Eugène.
Je recherche un portrait de ce Poilu.
De la classe 1910, Francisque Fontvieille est natif de la Loire, domicilié à St-Etienne.
Incorporé à la 14e section des commis et ouvriers d'administration (COA), il est nommé caporal en 1913 et maintenu sous les drapeaux.
Mobilisé au 44e RI, il est affecté au 73e RI le 5 juin 1917, il vient d'être nommé sergent !
Francisque prend part à la bataille des Flandres à Steenstraete, Pypegale, Bixschoote, Smith Cabaret, Poesele... jusqu'en octobre.
Après une période de repos bien mérité près de Meaux, il est dirigé vers l'Aisne près de Concevreux puis à Corbeny et Chevreux près de Craonne.
Ses excellents étas de service lui permettent d'obtenir une citation à l'ordre de la 51e division d'infanterie.
Fin mai 1918, il se trouve sous Soissons et prend part aux violents combats de Dommiers.
Très gravement blessé par éclats d'obus aux reins, il est soigné à l'ambulance où il décède.
Son corps est rapatrié après guerre, il repose dans le cimetière de Veauche.
Mes remerciements s'adressent à "Cassie 5" pour les photos de la tombe.
De la classe 1914, Georges Guinard est né à Yffiniac dans les Côtes d'Armor.
Il est affecté au 73e RI le 28 janvier 1915 et part au front.
Blessé à Verdun le 29 février 1916, il se distingue en tant que brancardier lors des combats des Flandres en 1917.
Il est cité à l'ordre du régiment puis à l'ordre de la brigade pour son courage et son dévouement.
Blessé à Dommiers le 3 juin 1918, il reçoit une nouvelle citation à l'ordre de la brigade.
Après guerre, il se retire à Boulogne-Billancourt où il décède en 1930.
Je recherche un portrait de ce Poilu, n'hésitez pas à prendre contact, merci.
Natif d'Amettes et de la classe 1910, Paul Pourchez est fait prisonnier au bois d'Ailly le 5 mai 1915 et interné à Heidelberg.
Après guerre, il sera domicilié à Boulogne/mer.
Je recherche un portrait de cet officier, si vous êtes de ses descendants, n'hésitez pas à prendre contact, merci.
De la classe 1911, Roger Triaud est né à Bordeaux.
Il rejoint le 273e RI le 27/5/1917 et le 3/8/1917, il est blessé à Bixschoote par éclat d'obus.
Il est de nouveau blessé par éclat d'obus à Craonne le 15/4/1918.
Cité à l'ordre de la division, il reçoit la médaille militaire puis la légion d'honneur.
Je recherche un portrait de ce Poilu, n'hésitez pas à me contacter si vous êtes de ses descendants...